La Caisse Desjardins de Vaudreuil-Soulanges en mode embauche | VIVA MÉDIA Skip to main content

Tributaire de son propre succès, la Caisse Desjardins de Vaudreuil-Soulanges doit miser sur le recrutement pour soutenir sa croissance.

Le directeur général de la Caisse Desjardins de Vaudreuil-Soulanges, Sébastien Laliberté souhaite embaucher une vingtaine d’employés additionnels afin de soutenir la croissance de l’entreprise financière. (Photo : L’Art de Capter – Josiane Farand)

Alors que la hausse du nombre de membres a excédé le millier depuis un an pour se chiffrer à plus de 55 000 sociétaires et quelques centaines d’entreprises, l’institution financière de la région souhaite compter sur une vingtaine d’employés additionnels pour assurer le bon fonctionnement des 7 centres de services et 4 sites automatisés établis sur son territoire.

La situation sanitaire publique liée à la pandémie n’a pas affecté la Caisse de Vaudreuil-Soulanges, bien au contraire. Comme dans l’ensemble du Mouvement Desjardins, une activité financière accrue depuis 2020 force l’entreprise à se tourner vers l’embauche de personnel. Ayant actuellement 190 employés sur sa liste de paye, dont 168, à temps complet, la Caisse de Vaudreuil-Soulanges prévoit augmenter ce nombre à plus de 200, afin d’être à la hauteur de la forte demande.

« Des postes sont à combler dans plusieurs domaines d’emplois. Aucune entreprise ne propose une diversité d’emplois comme Desjardins », affirme Sébastien Laliberté, directeur général de la Caisse de Vaudreuil-Soulanges. Caissier (ou caissière, évidemment), conseiller financier, planificateur… voilà seulement quelques exemples de ressources à combler.

« Nous avons besoin de personnel en administration, informatique et communications entre autres. Chez Desjardins, on a embauché des gens de restauration, des historiens, des personnes pour détecter le blanchiment d’argent, qui ont tous fait leur place au sein de l’entreprise », élabore M. Laliberté, qui est entré en fonction le 5 mai dernier dans Vaudreuil-Soulanges après avoir campé les mêmes occupations à la Caisse Desjardins du Vieux-Longueuil pendant 10 ans.

Cumulant plus de 28 années d’expérience au sein du Mouvement Desjardins et détenteur d’une maîtrise en administration des affaires, Sébastien Laliberté présente un cheminement de carrière susceptible de convaincre des chercheurs d’emploi de se joindre à l’entreprise. « La progression peut être rapide. J’ai eu mon premier emploi comme caissier chez Desjardins et à l’âge de 25 ans, je suis devenu DG », décrit le gestionnaire qui a exercé diverses fonctions dans le réseau des caisses et dans le secteur des centres de services financiers aux entreprises.

Les jeunes et la famille

Sébastien Laliberté a suivi les traces de son père qui travaille chez Desjardins depuis 1977. « Plus jeune, je voulais devenir ingénieur ou banquier. J’ai réalisé que je ferais peut-être un meilleur banquier. Grâce à Desjardins, j’ai eu la chance d’aller en Europe pour réaliser un stage de travail. Encore aujourd’hui, les jeunes peuvent bénéficier d’un tel accompagnement de Desjardins dans leur parcours, que ce soit en termes de mentorat, formation ou stage », fait valoir le directeur général de la Caisse de Vaudreuil-Soulanges.

M. Laliberté croit que la qualité d’entreprise de Desjardins est méconnue et que les jeunes désireux de faire carrière dans le domaine des services financiers peuvent relever un défi stimulant. « Les jeunes sous-estiment la chance de faire partie d’une entreprise de quelque 53 000 employés. Ce sont des emplois avec tous les avantages sociaux et fonds de retraite. Des emplois avec possibilité d’avancement, chez nous, pas à Montréal. Tout est décentralisé maintenant chez Desjardins », insiste-t-il.

La conciliation travail-famille fait partie intégrante de la société contemporaine et cet aspect revêt une haute importance dans le processus d’embauche privilégié par Desjardins. « La famille a changé. On peut adapter l’horaire. Notre entreprise est plus qu’une institution financière. Desjardins, c’est une famille », avance Sébastien Laliberté.

Dans la philosophie de Desjardins, les critères d’embauche vont plus loin que la compétence. « La personnalité fait la différence. Nous engageons des gens avec du potentiel. On va se charger de les former. Avec un diplôme de 5e secondaire, c’est possible d’aller chercher un diplôme d’études collégiales (DEC) et un BAC », explicite le directeur général de la Caisse de Vaudreuil-Soulanges.

« Il faut être fier de Desjardins. Quand j’étais jeune étudiant, Desjardins m’a fait grandir. C’est maintenant à mon tour d’accompagner la jeunesse », conclut M. Laliberté.

Steve Sauvé

Journaliste

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