Desjardins : Prendre racine | VIVA MÉDIA Skip to main content

Après des années à expérimenter différents milieux, c’est chez Desjardins de Vaudreuil-Soulanges que Remy Zucchet s’est senti chez lui. Il est heureux dans sa région d’adoption et c’est toute la communauté qui y gagne.

Remy Zucchet, Conseiller en gestion de patrimoine, planificateur financier et représentant en épargne collective

Remy Zucchet, diplômé de l’Université Concordia en finances, a le verbe facile, mais aussi une mémoire aiguisée. Il se souvient avec vivacité des années qui ont précédé son arrivée à la Caisse Desjardins de Vaudreuil-Soulanges en 2009. « En terminant l’école, j’ai fait du courtage et du day trading (achat et vente d’actions à court terme) dans et pour différentes institutions financières de Montréal. Je me suis marié et je cherchais de la stabilité. En même temps, ma femme préférait que je choisisse un domaine plus tranquille : la bourse, c’est stressant! », lance le sympathique professionnel.

C’est ainsi qu’il postule au centre de services de Rigaud. « Pendant un an, je faisais la route entre Côte-des-Neiges et Rigaud tous les jours », laisse-t-il tomber. Sans trop de surprise, il décide de déménager plus près de son emploi. Sa famille et lui habitent Saint-Lazare depuis.

Trouver sa place

Dans ses premières années dans l’équipe de Desjardins, Remy vit un choc. Un choc de proximité. « Quand on travaille en ville, on s’habitue à un cadre professionnel froid et un peu distant, explique-t-il. En arrivant ici, on m’a envoyé sur le terrain pour participer à des événements dans la communauté ou encore remettre des prix à des organismes. C’était complètement différent et j’ai aimé ça. »

Une autre nouveauté pour lui : côtoyer des membres clients et des collègues dans les activités de tous les jours. « Mes fils faisaient du sport et je croisais des gens liés au travail. On a le sentiment de s’intégrer à quelque chose, à toute la communauté. Ce n’est pas quelque chose que j’aurais vécu en demeurant sur l’île de Montréal », poursuit le professionnel.

Il se dit surpris, en même temps, de la rapidité avec laquelle ses voisins et les habitants de longue date de Saint-Lazare et des environs ont accueilli toute sa famille comme s’ils étaient résidents depuis toujours. « C’est un sentiment très agréable », résume Remy.

Contact privilégié

Même dans un cadre strictement professionnel, l’expert en finances mesure les avantages de travailler pour le Mouvement Desjardins avec la lorgnette d’un ex-Montréalais.

« En ville, tout se fait en vitesse, souligne-t-il. C’est un client après l’autre. Ça ne donne pas vraiment le temps de développer une relation. La différence est énorme ici. Je travaille avec une clientèle fidèle depuis des années. »

Cette relation à long terme et le fait qu’il soit arrivé dans la région dans la jeune quarantaine créent un contexte favorable pour des relations privilégiées avec les membres. En effet, il vit les différentes étapes de la vie des membres qu’il conseille avec eux. Les jeunes mères et pères de famille qui cherchaient à maximiser leurs investissements, comme lui, ont maintenant les yeux fixés sur leur retraite.

Le fort esprit d’équipe dans chacun des centres de services est, d’un autre côté, une grande fierté pour Remy : « Je n’étais pas familier avec cet aspect avant mon arrivée. J’ai toutefois compris à quel point c’est bon pour les membres et pour les employés. Chacun des centres travaille dans le même but : le bien des membres. »

D’ailleurs, il affirme qu’il profitera bientôt d’un autre avantage de Desjardins auquel il ne s’attendait pas avant 2009. « L’équipe fait une sortie à la cabane à sucre, lance Remy, un large sourire dans la voix. Desjardins s’occupe bien de nous et on s’occupe ensemble des membres. »

Distinction coopérative

Même lorsqu’on l’interroge sur sa définition de la distinction coopérative, la réponse du conseiller est teintée de la notion de la proximité et de la convivialité qu’il a découvertes chez Desjardins de Vaudreuil-Soulanges. « J’ai travaillé pour d’autres institutions qui étaient engagées auprès de différents organismes, rappelle-t-il. Cependant, les dons visaient toujours le haut de la pyramide, les gros noms. Chez Desjardins, plutôt que de donner à Tennis Canada, on va soutenir un club local bien implanté dans la communauté. Je me trouve privilégié de contribuer à ça. »

Enfin, pour lui, la distinction coopérative passe aussi par la place que le Mouvement Desjardins fait aux artisans de son réseau et ses membres. Il conclut : « L’humain est placé au cœur de tout. Je demeure une personne alors que dans d’autres organisations je pouvais être perçu comme un numéro. Je suis Remy et je garde ma voix. On me donne l’occasion de prendre la parole et d’être entendu, même par les gestionnaires. C’est toute une différence. »

Avec Desjardins aussi bien que dans Vaudreuil-Soulanges, Remy Zucchet est chez lui.

Christopher Chartier-Jacques

 

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