Circulation : présence de plusieurs poids lourds à prévoir à Saint-Lazare | VIVA MÉDIA Skip to main content

Dès les premières semaines de juillet, un important projet de stabilisation de talus débutera dans le secteur Vallée-Chaline à Saint-Lazare. Le projet, d’une durée de 15 à 20 semaines ou plus selon les conditions du chantier et de la météo, amènera son lot de nuisances notamment une circulation importante de véhicules lourds, des délais, du bruit et de la poussière.

Malgré une signalisation accrue et la présence de signaleurs à certains endroits, la Ville de Saint-Lazare demande aux résidents du secteur, aux parents d’enfants fréquentant le camp de jour au Parc nature Les-Forestiers-de-Saint-Lazare ainsi qu’aux commerçants et leurs clients, d’être particulièrement vigilants aux abords des rues (allers : rue Chaline, chemin Saint-Louis, chemin Sainte-Angélique, route de la Cité-des-Jeunes, chemin Saint-Dominique, chemin Lotbinière et retours : chemin Lotbinière, chemin Saint-Dominique, route de la Cité-des-Jeunes, chemin Legault, rue Duhamel, rue de Carillon.)

En présence de véhicules lourds, les automobilistes, piétons et cyclistes sont priés d’adapter leur conduite, de garder une distance sécuritaire, de ralentir en marge des entrées et sorties de véhicules lourds, d’assurer d’être vus par les camionneurs contraints par de nombreux angles morts, de respecter les limites de vitesse et la signalisation et de ralentir et garder une distance des signaleurs routiers pour protéger leur vie

Rappelons qu’un véhicule lourd chargé prend 2 fois plus de distance pour s’arrêter qu’un véhicule moyen, et deux fois plus de temps pour atteindre sa vitesse de croisière. Notons que les camionneurs sont payés à l’heure et non « au voyage » pour ceux qui seraient préoccupés par la vitesse des camions.

La Ville de Saint-Lazare indique que ce projet vise à sécuriser la vie et les biens de centaines de personnes dans un secteur exposé à de grands glissements de terrain en raison de la présence de plusieurs sones d’amorce potentielle dans les méandres de la rivière Quinchien.

Steve Sauvé

Journaliste

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