Beauce carnaval est en ville : la pluie sera-t-elle du rendez-vous? | VIVA MÉDIA Skip to main content

À Salaberry-de-Valleyfield, une légende urbaine est en place depuis plusieurs années. La présence de Beauce carnaval est synonyme de pluie. Promesse de Charles-Éric Vallée, directeur de la tournée de Beauce Carnaval, cette année, le beau temps sera du rendez-vous.

Difficile de ne pas constater la présence d’une des deux unités mobiles de Beauce Carnaval. Depuis quelques années, les manèges sont installés en plein cœur du stationnement du Centre Valleyfield. Une quinzaine de manèges, tous plus illuminés les uns que les autres, sont utilisés pour divertir les petits et les grands.

L’entreprise qui œuvre dans le divertissement depuis 56 ans parcourt près de 25 000 kilomètres par année dans les provinces de Québec et de l’Ontario. Au total, c’est près d’un million de personnes qui franchissent les tourniquets de Beauce carnaval annuellement.

Sécurité

M. Vallée assure que les équipements de l’entreprise sont sécuritaires. Un des avantages est le fait que les manèges sont démontés chaque semaine. « Nous avons des employés qui sont formés pour monter et démonter les manèges de façon hebdomadaire. Nous pouvons donc vérifier toutes les pièces régulièrement. Par la suite, nous avons aussi un mécanicien qui lui est formé pour faire l’inspection des manèges. Il n’y a rien de laissé de côté pour la sécurité. »

Enquête judiciaire

Une nouveauté est à signaler en ce qui concerne Beauce Carnaval. À la suite d’une situation déplorable et isolée est survenue à Salaberry-de-Valleyfield l’an dernier, la direction de Beauce Carnaval s’est ajustée rapidement. En 2018, un employé de Beauce Carnaval avait retenu l’attention en se faisant arrêter sur le site pour voyeurisme.

Charles-Éric Vallée explique que depuis l’événement, tous les employés sont scrutés à la loupe avant d’être engagés. « Présentement, nous avons 30 employés à Salaberry-de-Valleyfield en plus d’une douzaine dans les concessions, mentionne M. Vallée. Ils ont tous passé une enquête pour s’assurer qu’ils ne possèdent aucun antécédent judiciaire. »

Steve Sauvé

Journaliste

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