Un partenariat pour la Sucrerie de la Montagne | VIVA MÉDIA Skip to main content

Soucieuse du bien-être des jeunes de la communauté, la direction de la Sucrerie de la Montagne, à Rigaud, s’implique depuis quelques années auprès d’organismes qui redonneront aux enfants.

(Photo Carol-Ann Faubert)

En 2018, la famille Faucher a entrepris de s’impliquer socialement alors qu’elle s’est unie à la Fondation Rêves d’enfants. Ce partenariat aura permis de venir en aide à un enfant de la région qui luttait avec la maladie et de lui permettre de voyage avec sa famille. Afin d’amasser des fonds pour cette cause, un petit montant de chacun des repas servis durant le temps des sucres 2018 avait été mis de côté, pour finalement récolter la grande somme de 10 000$ pour la jeune Alexia.

Suite à ce don bien au-delà des attentes de la direction, les membres de la Sucrerie de la Montagne ont réalisé l’impact positif qu’avait eu leur geste, en partie grâce à leur clientèle engagée dans la cause.

Pour 2020, la famille Faucher a choisi de répéter le projet, mais cette fois, en s’unissant avec le Club des petits déjeuners du Canada. Comme l’édition précédente, une partie de la vente de chaque repas sera remise à la Fondation.

« C’est une cause qui nous tient à cœur et on est très fiers de collaborer avec le Club des petits déjeuners. J’ai une fille Rose, qui a 8 ans, et Justine, 7 ans, puis quand j’ai su qu’il y avait des enfants qui partent à l’école sans déjeuner, ça m’a vraiment affecté. Je ne pouvais pas imaginer mes filles dans cette situation-là. Notre famille a toujours voulu aider les enfants et avec le Club des petits déjeuners, c’est une belle manière de le faire », s’exprime Stefan Faucher de la Sucrerie de la Montagne.

Au Québec, ce sont plus de 5 millions de petits déjeuners qui sont servis annuellement, soit 243 521 par semaine.

« Sans l’implication des entreprises et des gens, on n’arriverait pas à avoir le financement nécessaire pour répondre aux besoins actuels qui sont énormes. C’est certain que le plus de monde qui veut faire sa part, le mieux c’est pour nous. Au-delà des sous qui sont amassés, c’est surtout la notoriété et la reconnaissance de la cause qui est importante. Ça touche tout le monde. Quand une entreprise locale comme celle-ci désire faire la différence et parler du Club, c’est sur que ça fait toute la différence.

Carol-Ann Faubert

Journaliste

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