Coupable de contacts sexuels sur des enfants, il est toujours en liberté | VIVA MÉDIA Skip to main content

Robin Wilcox a évité, le jeudi 21 novembre, de faire son entrée dans un centre de détention. L’homme qui a été reconnu coupable le 16 avril dernier de 6 chefs d’accusation en lien avec des contacts sexuels sur une personne de moins de 14 ans se retrouve sans avocat. Donc, impossible pour la défense de faire sa représentation sur sentence.

Robin Wilcox a été reconnu coupable le 16 avril dernier. Il est toujours en attente de sa sentence. (Photothèque)

Lors de sa dernière comparution, Robin Wilcox a tenu des propos désobligeants envers son avocat. Devant ces circonstances, ce dernier s’est retiré du dossier. Bien que Robin Wilcox a appris de son avocat qu’il se retirait du dossier il y a quelques jours, il prétend ne pas avoir eu le temps d’engager un autre avocat.

Fait intéressant, Robin Wilcox a aussi été reconnu coupable d’un chef d’accusation similaire dans un autre procès et le prononcé de sa sentence est prévu pour le vendredi 22 novembre.

La procureure du Directeur des poursuites criminelles et pénales, Me Mylène Brown a demandé au juge Joey Dubois de révoquer la liberté de Robin Wilcox afin qu’il commence à purger sa peine de détention. Toutefois, le magistrat a jugé bon de ne pas suivre la recommandation de la poursuite.

Lors du procès, la victime, dont l’identité est protégée par une interdiction de publication, a expliqué au tribunal que les faits reprochés se sont déroulés alors qu’elle était âgée entre 8 et 11 ans. Robin Wilcox a profité du fait que la gamine était sous sa supervision pour l’amener dans sa chambre et l’inviter à jouer à des jeux dont la règle première était d’être nu. La victime a aussi expliqué à la Cour que pendant les jeux, que Robin Wilcox l’a touché, léché les parties intimes et qu’à certaines occasions, qu’il a tenté de la pénétrer autant dans le vagin que dans l’anus. Ronin Wilcox a également demandé à sa victime de lui prodiguer des fellations à quelques reprises.

Lors de l’analyse des faits, le juge Dubois a noté de nombreuses contradictions dans le témoignage de l’accusé, qui lui prétend que la version de la victime est fausse. Par conséquent, la version de Robin Wilcox a été jugée comme n’étant ni crédible ni fiable. L’accusé a été reconnu coupable il y a déjà sept mois.

Steve Sauvé

Journaliste

Un commentaire

  • Marie D.l dit :

    Non mais la magistrature veut rien faire avec ces pourritures là c’est rire des gens et des victimes, LE PALAIS DE JUSTICE ET DES AUTRUCHES

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