Lorsque la guérison pourrait passer par l’international | VIVA MÉDIA Skip to main content

Selon les médecins du Québec, il serait question de soins palliatifs pour François Mainville, 46 ans de Saint-Zotique. Toutefois, sa famille est en relation avec les services santé internationaux pour obtenir d’autres soins à l’étranger.

En 2022, la vie de l’entrepreneur en construction a basculé à la suite d’un diagnostic de cancer. Il était alors question d’un cancer du rein métastatique aux cellules non claires. Récemment, l’état de François Mainville a présenté plusieurs complications liées à sa condition médicale. Après la radiothérapie, l’immunothérapie, les traitements ciblés, la chimiothérapie conventionnelle, la cryothérapie et la cimentoplastie, les médecins disent qu’il n’y a plus aucun traitement pour lui au Canada. Il serait question de soins palliatifs.

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À la suite de cette terrible nouvelle et surtout, du sombre pronostic, les enfants de M. Mainville ont mis sur pied une campagne de souscription afin de jouer le tout pour le tout.

 

« Nous avons fait de nombreuses recherches et avons découvert plusieurs traitements différents dans des pays étrangers. Nous sommes présentement en contact avec le Service de Santé International pour trouver le meilleur traitement adapté pour notre père. La première option est le venin de scorpion bleu, qui se fait chaque 3 mois. Nous avons contacté une dame ayant reçu ce traitement et les résultats sont incroyables! Cette dame avait un cancer très avancé, tout comme notre père, et les médecins canadiens lui avaient donné un pronostic de 3 à 6 mois. Aujourd’hui, après 6 ans, elle est toujours en vie et en rémission! Comme quoi, tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. Nous devons amasser les fonds urgemment, car nous n’avons pas beaucoup de temps. S.V.P., nous ne voulons pas perdre notre père à un si jeune âge! Aidez-nous à sauver notre papa! Merci », précise le fils de François Mainville dans la description de la campagne de sociofinancement.

Les gens intéressés à contribuer peuvent le faire ici

Steve Sauvé

Journaliste

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