Le BÉNÉVOLAT : c’est bénéfique et essentiel! | VIVA MÉDIA Skip to main content

« Si le bénévolat n’est pas payé, ce n’est pas parce qu’il ne vaut rien, mais parce qu’il n’a pas de prix », Sherry Anderson

Le Réseau de l’action bénévole du Québec (RABQ) définit sur son site web le bénévolat comme un acte d’échange et de développement social fondé non seulement sur l’action citoyenne et la volonté de créer des liens sociaux, mais aussi sur des valeurs de gratuité et de responsabilité.
Des études ont démontré que le bénévolat pourrait avoir des répercussions sur la santé et l’éducation publique, sur la croissance économique et l’innovation ainsi que sur le développement communautaire. (Baskwill, 2006; Boon, 1995; Epstein, 1995, 2001; Putnam, 2001, Salamon et autres, 2012; Woolcock, 2001).

Claire IsaBelle

En ce sens, l’United Health Group avec deux études en lien avec ce sujet affirme que le bénévolat aide les gens qui le pratiquent à gérer et à atténuer leur stress. Les bénévoles, comparativement aux non-bénévoles, affichent une meilleure santé émotionnelle, y compris la satisfaction à l’égard de leur vie en général. (Jeune Chambre de Commerce de Montréal, JCCM)

Au Québec, selon Statistique Canada (2013), plus de 2 millions de Québécoises et de Québécois, âgés de 15 ans et plus réalisent annuellement du bénévolat, ce qui représente 268 millions d’heures auprès des organismes québécois.

Dans chacune des municipalités qui forment le comté de Huntingdon, l’action bénévole est présente et remarquable. En parcourant le territoire, nous pouvons constater l’implication et le dévouement de toutes ces personnes qui investissent temps et énergie pour le mieux-être de citoyens et citoyennes et par le fait même pour leur communauté.

Que ce soit par plaisir ou par intérêt pour une cause particulière, pour socialiser, pour échanger, pour la réalisation d’un projet social, pour aider, pour redonner, il va sans dire que le bénévolat est essentiel et bénéfique.

Certains programmes scolaires invitent les élèves à s’engager dans leur communauté, par exemple, le programme d’éducation internationale (PEI) impose un minimum de 105 heures obligatoires en 5 ans; l’Ontario exige 40 heures de service communautaires aux élèves pour obtenir le diplôme d’études secondaires.

Cet engagement vise ainsi à aider les jeunes à devenir des citoyens éveillés, responsables, conscients des besoins de leurs concitoyens et désireux de s’engager à les satisfaire et à rendre le monde meilleur.

Même si chaque année, c’est au mois d’avril, que nous soulignons d’une façon particulière l’action bénévole, je viens exprimer à nouveau en ce début d’octobre à tous les bénévoles de mon comté toute ma reconnaissance et mon admiration. Au fond, une fois par année ce n’est pas assez. C’est tous les jours que nous devons leur dire MERCI!

Bon bénévolat!

Claire IsaBelle et mon équipe!
Collaboratrice spéciale
Députée de Huntingdon
Présidente de la Commission de l’économie et du travail

VIVA média

Entreprise de presse et de communication

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