Les membres de la famille de Maurice Chartrand se sont réunis, le jeudi 13 octobre dernier à la Place Maurice-Chartrand, aux côtés de tous ceux impliqués dans la conception du projet pour inaugurer la halte et la murale créée par l’artiste peintre Melissa del Pinto.
Des membres de la famille de M. Chartrand aux côtés de ceux qui ont participé à la réalisation de la Place Maurice-Chartrand.
Crédit photo : Noémie Florence Faubert
Le projet a pour but de « perpétuer la mémoire d’une famille pionnière, installée au début des années 1900 et tout particulièrement d’un homme d’affaires impliqué dans sa communauté et de son emblématique établissement Chez Maurice reconnue à grande échelle », a affirmé la mairesse de Saint-Lazare, Geneviève Lachance.
L’organisme de bienfaisance Mu a été sélectionné afin de réaliser la première œuvre murale de la ville. La directrice de production, Julie Lambert, s’est dite ravie d’avoir pu travailler avec Saint-Lazare sur ce projet : « C’est ce qu’on fait, c’est notre ADN », a-t-elle affirmé.
Les membres du comité de la politique familiale municipale MADA, le Conseil des arts et de la culture de Vaudreuil-Soulanges (CACVS) et l’édition 2021 de son programme d’innovation culturelle et numérique ont contribué à la réalisation de ce projet.
La Société historique de Saint-Lazare a travaillé de pair avec le comité afin de fournir des photos et des informations sur l’histoire de la ville. La murale, qui se trouve sur un mur du bâtiment Chez Maurice, contient trois éléments historiques qui ont marqué le patrimoine de la ville : la première église, la gare de Saint-Lazare et l’exposition agricole.
« M. Chartrand a laissé sa marque à Saint-Lazare et sa contribution au développement socioéconomique, culturelle et communautaire est remarquable », a souligné Anick Chevrier, Vice-présidente de la Société historique de Saint-Lazare.
« L’œuvre magistrale qui orne désormais le mur d’un bâtiment mythique chez nous évoque des pans de notre histoire et illustre si brillamment Saint-Lazare d’autrefois et d’aujourd’hui », a terminé Mme Chevrier.
