Le ramonage : Vaut mieux prévenir que guérir! | VIVA MÉDIA Skip to main content

L’hiver, on aime sentir l’odeur du bois qui brûle dans les cheminées du quartier. Chaque année, au Québec, plus de 1 100 cas de feu de cheminée sont rapportés aux services incendies, d’où l’importance d’effectuer un ramonage de la cheminée, au moins une fois par année.

L’installation d’un nouvel appareil de chauffage se doit d’être confiée à un professionnel du domaine afin d’éviter une potentielle incendie, qui engendrerait de nombreuses pertes matérielles et humaines. Cependant, une fois l’installation complétée, il faut assurer un entretien régulier.

Le ramonage permet de prévenir les incendies, tout en prévenant les intoxications au monoxyde de carbone. En nettoyant bien la cheminée, nous permettons une meilleure évacuation de la fumée et des gaz toxiques ou nocifs. De surcroît, l’accumulation de suie et de dépôts inflammables (créosote) peuvent être très dangereux.

Un bon ramonage optimisera également l’efficacité de l’appareil de chauffage, ce qui jouera un rôle important sur l’économie de combustible. D’un autre côté, le professionnel pourra facilement déceler la présence de bris ou d’une détérioration du système de chauffage.

Selon le Ministère de la Sécurité publique du Québec, il est conseillé de faire ramoner la cheminée au moins une fois par années, soit au printemps ou à l’automne. Un registre des détenteurs de licence est disponible sur le site du Gouvernement du Québec afin de trouver du personnel qualifié.

Carol-Ann Faubert

Journaliste

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